12 conseils de rédaction SEO pour booster ton trafic web

rédactrice qui travaille sur ordinateur
 

Le SEO (Search Engine Optimization) est devenu incontournable pour attirer plus de trafic qualifié sur ton site web grâce à des contenus qualitatifs et pertinents.

En effet, le contenu est l’un des 3 piliers du SEO. Tu dois donc y apporter un soin particulier et le critère les plus important est la pertinence.

Quand tu rédiges, tu dois toujours te poser cette question : “Est-ce que mes contenus répondent précisément aux intentions de recherche des internautes ?

Découvre mes 12 conseils en rédaction SEO pour viser la première page des résultats des moteurs de recherche.

 
 

SEO et rédaction optimisée : définition et problématiques

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il me semble utile de te donner une définition du SEO appelé aussi “référencement naturel”.

Le SEO désigne un ensemble de techniques d’optimisation de tes contenus web afin de les rendre plus visibles en les faisant remonter dans les pages de résultat de Google.

Pour beaucoup, le SEO est une science obscure. Mais je vais te montrer que tu peux obtenir des résultats significatifs en appliquant quelques règles rédactionnelles simples.

D’abord, le SEO repose sur 3 piliers :

    • le pilier technique

    • le contenu

    • les liens

Mon domaine de compétence, c’est le contenu, qui pèse environ pour un tiers de l’optimisation SEO. Ce n’est pas rien !

Qu’est-ce qui est essentiel à une bonne stratégie de contenu SEO ?

Déjà, tu dois savoir que la notion la plus importante en rédaction optimisée pour le référencement naturel, c’est la PERTINENCE.

Pourquoi ?

Parce que quand un internaute saisit une requête avec des mots-clés ou sous forme de question, Google va lui envoyer les résultats les plus pertinents.

Donc, si tes contenus ne répondent pas à ce que l’internaute recherche, ils ne remonteront pas dans les résultats. Tu comprends ?

Jusque là tout va bien. Tu te dis peut-être : “Oh, c’est ça, le SEO ? Mais c’est facile !”

Oui et non…

Parce que tu te doutes bien que tu n’es pas tout seul sur la toile. Il y a tous tes concurrents qui proposent la même chose et qui eux aussi, ont plein de choses pertinentes à raconter…

Ben oui… Alors comment faire pour te différencier ?

Rédiger des contenus encore plus pertinents, plus qualitatifs, plus centrés utilisateurs… En un mot, mieux optimisés.

Voyons comment…

 

Conseil #1: Choisis bien tes mots-clés

Les mots-clés, ce sont les requêtes saisies par les internautes pour obtenir une réponse à leur intention de recherche. 

Plus un mot-clé sera précis, plus il sera pertinent par rapport à une problématique donnée.

En premier lieu, tu devras analyser les mots-clés sur lesquels tu veux te positionner. 

Après avoir étudié leur volume de recherche, tu devras vérifier les intentions de recherche de ta cible et analyser la concurrence.

Le rédacteur web peut t’aider à faire ce travail de recherche et d’analyse en utilisant des outils spécifiques comme Ubersuggest ou Ranxplorer.

Attention de bien différencier requêtes principales et secondaires.

Chaque page se positionne sur 1 mot-clé, appelé “requête principale”.

UN MOT-CLÉ = 1 THÉMATIQUE = 1 PAGE 

Donc, si tu veux positionner tes contenus sur 100 mots-clés, il faut rédiger 100 pages !

Pour chaque requête principale, il faudra définir entre 2 et 4 requêtes secondaires. Ce sont des mots qui permettent d’aller plus loin dans tes explications en introduisant des notions en relation avec ton contenu.

Par exemple, sur le mot-clé “arthrose”, tu peux associer les requêtes secondaires “santé”, “rhumatismes”, “articulations”, “kinésithérapeute”… Le tout est de balayer tous les champs autour de ta thématique pour créer un contenu riche et être sûr de répondre à toutes les problématiques des internautes.

 

Pour aller plus loin…

Comment rechercher les mots-clés stratégiques pour bien te positionner ?

 

Conseil #2: Utilise des mots-clés de “longue traîne”

Je te conseille de bien doser tes mots-clés en recherchant un équilibre entre des mots-clés génériques “de courte traîne” ou “moyenne traîne” (constitués de 1 ou 2 mots, 3 maximum), très recherchés et des mots-clés spécifiques de “longue traîne”, moins concurrentiels mais qui attireront une cible plus précise.

Exemple de mots-clés de courte, moyenne et longue traîne dans la thématique “Voyage” :

Courte traîne  : “voyage”

Moyenne traîne : “voyage en famille”

Longue traîne : “destination idéale de voyage en famille” (avec ou sans accent)

Plus le mot-clé est court et générique, plus le volume de recherche est élevé mais plus il te sera difficile de te positionner dans les premiers résultats du moteur de recherche. Ton taux de conversion risque donc d’être trop faible.

A l’inverse, plus le mot-clé est long et précis, moins il va générer de trafic mais celui-ce sera de meilleure qualité. Ainsi, tes chances de conversion seront beaucoup plus importantes car tu vas attirer une clientèle plus qualifiée.  

Et en termes de SEO, la concurrence sera moins féroce avec des mots-clés de longue traîne. Il te sera donc beaucoup plus facile d’être bien positionné dans les résultats de Google.

Bon à savoir : prises individuellement, les requêtes de longue traîne attirent peu de trafic mais leur somme représente au moins 80% du trafic total du web.

En résumé, les mots-clés de longue traîne sont un choix judicieux si tu lances ton activité ou si tu as une petite entreprise qui manque de notoriété. 

 

Conseil #3: Optimise la balise Title et la méta-description

La balise Title est la balise située dans l’entête du code HTML. Elle correspond au titre d’une page web et elle aide les moteurs de recherche à comprendre le contenu de la page. Elle a donc beaucoup de poids en SEO. Reprise dans les résultats naturels, elle se présente sous forme de lien cliquable en bleu.

Il ne faut pas la confondre avec le titre positionné en haut de ta page ou de ton article, le titre H1.

Le Title doit toujours contenir la requête principale au début de préférence. Il doit être explicite et contenir au maximum entre 60 et 65 caractères.

La méta-description est la courte description qui suit le Title dans la page de résultats. Si elle n’a pas vraiment d’incidence sur le référencement, elle sert surtout à augmenter le taux de clics si elle est bien rédigée. Ainsi, ta méta-description doit être “sexy”, c’est-à-dire attractive et personnalisée, pour donner envie aux internautes de visiter ta page.

Tu peux y insérer des mots-clés qui seront mis en évidence en gras pour attirer encore plus l’attention des visiteurs.

La méta-description doit respecter une limite comprise entre 130 et 170 caractères pour pouvoir être lue intégralement.

 

Conseil #4: Structure tes pages avec les balises Hn

Les balises Hn sont les balises H1, H2, H3… H6. Ce sont les balises de titre qui permettent de hiérarchiser ton contenu textuel et qui aident Google à comprendre la structure de ta page web. 

La balise H1 désigne le titre principal de ta page et il est unique. Il annonce la thématique de ta page et doit comporter ton mot-clé principal. 

Les balises H2 désignent les titres des différentes parties qui structurent ton contenu éditorial.

Il est important de faire figurer ta requête principale dans au moins un H2 ainsi que des variantes ou synonymes. Utilise aussi des termes associés comme mots-clés secondaires appartenant au même domaine.

Chaque H2 peut comporter 2 ou 3 sous-parties H3, le tout étant de trouver une hiérarchie logique.

Tu peux structurer le corps éditorial de ta page uniquement avec des titres H2. Le tout est d’être cohérent tout en s’efforçant de garder un certain équilibre dans la longueur des différentes parties.

 

Conseil #5 : Insère un sommaire pour tes articles longs

Maintenant que tu as fait le nécessaire pour structurer le contenu de ton texte, est-ce qu’il ne manque rien ?

Est-ce que c’est facile à lire ? Comment donner encore plus envie de lire ton article quand celui-ci est très long ? 

Si c’est le cas, tu peux insérer un sommaire.

Le sommaire apporte 2 bénéfices majeurs :

    1. Il améliore l’expérience utilisateur (UX): il permet à l’utilisateur de mieux comprendre et mémoriser le contenu de l’article et de voir rapidement où se situe l’information qu’il recherche.
    2. Il améliore le SEO: d’abord, il augmente le taux de clics (CTR) puisque les liens du sommaire sont cliquables. Ensuite, il fait remonter l’article dans les résultats. En effet, les éléments du sommaire qui répondent aux intentions de recherche des internautes vont immédiatement figurer en position 0 dans un extrait optimisé, appelé “featured snippet”.

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Conseil #6: Rends ton texte clair et agréable à lire

Pour faciliter la lecture et la compréhension, il suffit de suivre ces quelques règles de rédaction à la fois évidentes et simples.

 

9 règles de base à appliquer en rédaction web

    • Fais des phrases courtes et faciles à comprendre.
  •  
    • Emploie un vocabulaire simple et évite les mots à double sens (homonymes).

    • Rédige des paragraphes courts de 4 ou 5 lignes maximum.

    • Commence chaque paragraphe par l’idée principale.

    • Aère le corps éditorial de la page en insérant des espaces entre les blocs de texte.

    • Joue avec différentes tailles de police et mets en gras les éléments que tu souhaites mettre en valeur.

    • Insère des listes à puces ou numérotées ; celles-ci ont un impact positif sur le SEO.

    • Adopte un style conforme à l’image que tu veux donner à ta marque.

    • Adapte ta communication à ton audience cible.

 

 

Conseil #7: Analyse le comportement de lecture

Le comportement de lecture a fait l’objet d’une analyse qu’on appelle “eye-tracking”.

Les résultats de cette analyse montrent que seulement 10 à 20% des utilisateurs ont une lecture linéaire.

En effet, la plupart des lecteurs adoptent une lecture cursive. Cela signifie qu’ils parcourent les contenus très rapidement. Ils scannent le texte à la recherche des informations qui les intéressent. Certains vont même jusqu’à ne rechercher que l’information essentielle. Ils liront généralement le début plus attentivement et s’ils ont trouvé l’information recherchée, ils n’iront pas plus loin. 

L’analyse “eye-tracking” a mis en évidence un schéma en forme de F appelé “ triangle d’or”. La zone rouge correspond à la zone chaude, c’est-à-dire la zone qui attire l’attention de l’internaute. 

Ce schéma est aussi valable sur les pages de résultats (SERPs) des moteurs de recherche.

 

le schéma en F du triangle d'or

Le schéma en F ou “triangle d’or

 

Quels enseignements en tirer pour la rédaction web ?

La lecture se fait en 3 étapes :

    1. D’abord, le lecteur s’attarde sur le contenu tout en haut, généralement le premier paragraphe.
    2. Ensuite, il descend un peu sans forcément lire la totalité des paragraphes. Il lui arrive aussi de parcourir le texte en diagonale pour trouver une information plus rapidement.
    3. Enfin, son regard scanne la partie gauche de la page de haut en bas pour prendre connaissance des différents points qui seront abordés et si cela vaut la peine d’être lu.

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  1. Ce qu’il est important de retenir :

    • les premières lignes de la page attirent le plus l’attention.

    • les premiers mots de la phrase sont les plus lus

    • la lecture horizontale correspond à l’axe d’intérêt du lecteur

    • l’axe vertical est l’axe de recherche d’informations.

 

Ces enseignements sont très utiles pour comprendre comment organiser l’information sur sa page web.

 

Conseil #8: Utilise la technique de la pyramide inversée

Il ne faut pas être naïf : relativement peu d’internautes liront ton contenu intégralement. Certains se contenteront même de lire seulement les 10 premières lignes.

C’est frustrant, non ? Surtout quand tu penses tout le temps que tu as consacré à rédiger des super contenus bien optimisés ! Mais rassure-toi, il y aura 10 à 20% des lecteurs qui liront chaque mot avec attention.

Mais dois-tu pour autant dire : “Tant pis pour les autres, ce sont des idiots” ? Tu te doutes bien que la réponse est NON.

Ce sont précisément ces lecteurs plus pressés que tu devras accrocher dès le début de ton contenu. 

Alors, pour capter leur attention, autant faire bonne impression dès l’introduction. Si tu les as convaincus dès les premières lignes, c’est JACKPOT !

Pour ça, tu dois utiliser la technique de la pyramide inversée !

 L’intérêt de cette technique est qu’elle satisfait tout le monde, les plus pressés comme les plus curieux !

 

La pyramide inversée, c’est quoi ?

C’est une technique de rédaction utilisée par les journalistes qui consiste à commencer par l’information principale.

Elle présente 2 gros avantages :

    1. Optimiser la conversion: Accrocher le lecteur dès le début de ton article et lui donner envie de découvrir la suite ou même de passer directement à l’action en cliquant sur le CTA.
    2. Optimiser le SEO: Améliorer le positionnement de ton contenu car cette technique de rédaction rend ton contenu plus compréhensible pas seulement pour les utilisateurs mais aussi pour Google.

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Principes de rédaction selon la pyramide inversée

    • Commence par la conclusion et apporte ensuite les explications.

    • Rédige l’idée phare, celle que tu veux mettre en avant, dans le premier paragraphe de ton article ou l’introduction. Celle-ci doit être percutante car rappelle-toi les enseignements de l’eye-tracking. 

    • Débute ton article par un chapô, qui résume ton article en quelques lignes, que tu rédiges en gras juste en dessous du titre H1.

    • Optimise les titres de ton article en y insérant les mots-clés importants.

    • Insère les informations capitales à développer dans le titre de ta page, le chapô et les intertitres de ton texte.

 

Conseil #9: Insère des visuels et optimise tes images

 

Tu as certainement entendu dire qu’une image vaut 1000 mots.

L’image éclaire le sens de ton texte et donne plus d’impact à ton message.. 

Esthétique, elle attire l’attention et réduit le taux de rebond car elle contribue à retenir l’internaute plus longtemps sur ton site.

Les éléments visuels contribuent aussi à améliorer ton référencement car Google fournit beaucoup de résultats sous forme d’images. A condition bien sûr d’ajouter les balises Alt (ou attributs Alt) qui correspondent au texte alternatif descriptif pour l’accessibilité.

Quand on parle de visuels, ce ne sont pas seulement les photos. Ce sont aussi les vidéos, les graphiques et les iconograpĥies.  

L’image ne contribue pas seulement à améliorer le référencement. Elle facilite également la lecture et la compréhension du message et elle permet de rompre avec la monotonie d’une présentation uniquement textuelle.

 

Conseil #10: Utilise des CTA efficaces et engageants

Le CTA ou Call-To-Action est un lien mis en évidence pour inviter ton prospect à effectuer une action.

Pour être efficace, le CTA doit respecter quelques règles simples :

    • Il utilise des verbes d’action qui s’adressent directement au visiteur ou prospect : “Abonne-toi à ma newsletter”, “Contacte-moi” ou “Je télécharge mon guide”…

    • Il présente en termes clairs et simples la valeur ajoutée liée à l’action.

    • Il est mis en valeur avec un bouton aux couleurs de ta charte graphique. A l’intérieur d’une bannière visuelle, c’est encore mieux.

    • Il apparaît au moins 2 fois sur ta page (généralement aux endroits les plus stratégiques) en haut, en bas et éventuellement au milieu si le contenu est long.

 

Le CTA vise surtout un objectif de conversion. Un CTA fait dans les règles de l’art contribue énormément à augmenter ton taux de conversion car il est incitatif.

D’un point de vue SEO, il réduit le taux de rebond en invitant le visiteur à se rendre sur d’autres contenus et en augmentant le nombre de pages vues. Il envoie donc un bon signal d’optimisation et d’engagement à Google.

 

Conseil #11: Lie tes contenus avec le maillage interne

Deux anneaux entrelacés

 

Ah, les liens ! 

Indispensable, mon cher Watson !

D’ailleurs, une page n’existe pas sans liens…

Parce que le web est une toile tissée avec des liens. Donc, une page sans lien n’est tout simplement pas crawlée par les robots d’indexation et ne s’affiche pas.

Les liens sont donc indispensables. Tu les trouves dans les menus de ton site web mais aussi à l’intérieur du corps éditorial de tes pages. Chaque lien cliquable ouvre un nouveau contenu : cela peut être un formulaire situé sur la même page ou une autre page.

Quand l’art du SEO est né (il était loin d’être aussi riche qu’aujourd’hui), les liens ont été le pilier le plus important.

Tu dois savoir qu’il existe 2 types de liens :

    • Les liens qui relient les différentes pages de ton site : c’est le maillage interne.

    • Les liens externes ou liens entrants, appelés aussi backlinks, liés à ta stratégie de “netlinking”.

 

Le maillage interne, c’est quoi ?

C’est d’abord un moyen de hiérarchiser ton contenu en facilitant l’indexation de tes pages par Google. 

Ensuite, il facilite et rend plus agréable la navigation de tes visiteurs pour qu’ils restent plus longtemps sur ton site. 

Ce dernier point est important car il signifie qu’un bon maillage interne contribue à réduire l’incidence du taux de rebond (quand celui-ci est trop élevé, cela signifie que les visiteurs quittent rapidement ta page).

Il permet aussi de répartir la popularité entre tes pages et de mettre en avant les contenus les plus pertinents pour les visiteurs ou les plus importants en termes de conversion.

 

Quelques précisions…

Comme on l’a vu, le maillage interne vise 3 objectifs :

    • faciliter la compréhension de la structure de ton site et l’indexation de ton contenu par les robots des moteurs de recherche

    • guider le visiteur de ton site dans le parcours de découverte de tes contenus 

    • mettre en avant les contenus les plus importants et pousser à l’action en mettant des liens cliquables vers les contenus qui convertissent : “pages d’atterrissage” ou landing pages.

 

Le maillage interne fait partie de ta stratégie de contenu. Il doit être fait de manière intelligente et subtile pour ne pas perdre ton visiteur. D’ailleurs, je te conseille de faire un plan de maillage interne lors de la construction de ta ligne éditoriale.

D’accord, j’ai compris mais les liens, il en faut beaucoup dans une page ?

Juste ce qu’il faut. Pas trop pour ne pas perdre le lecteur et suffisamment pour l’inviter à voir d’autres contenus. Le principal est que ce soit bien fait.

Le tout est de proposer une expérience utilisateur optimale et qui donne des résultats en termes de conversion.

 

Conseil #12 : Recherche des liens entrants ou “backlinks”

La recherche de liens externes appelés aussi liens entrants ou “backlinks” s’inscrit dans une “stratégie netlinking” qui vise la notoriété.

Ces liens proviennent de sites réputés qui ont un gros trafic. Ils doivent être dans la même thématique que celle de ton activité.

Quel est l’intérêt pour toi ?

Eh bien la popularité de ces gros sites rejaillit sur la tienne. En pointant sur tes contenus, les backlinks augmentent ton indice de notoriété ou Page Rank. 

En effet, d’une part, tu bénéficies d’une partie du trafic de ces sites et d’autre part, l’apport de liens externes contribue à asseoir  ton expertise et à inspirer davantage confiance dans ta marque.

Le netlinking est une stratégie spécifique que les référenceurs peuvent mettre en place. 

Si tu as un objectif de notoriété, je peux faire appel à un référenceur pour te proposer des backlinks.

 

 

J’espère que ces 12 conseils en rédaction SEO t’ont été utiles. Tu peux laisser un commentaire pour me dire ce que tu en penses.

 
 
 
 
 

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