Qui se cache derrière Catchwords ?

 

Je m’appelle Véronique Faucheux.

Rédactrice web communicante au service de ton marketing de contenu, je suis spécialisée en rédaction SEO & Copywriting.

J’ai créé Catchwords pour t’aider à construire une relation de confiance durable avec ton client à travers une communication claire et authentique.

 
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Photo de Véronique Faucheux, créatrice de Catchwords
 

Pourquoi Catchwords et comment je suis devenue rédactrice web communicante 

Pour que tu comprennes comment est né Catchwords, je vais d’abord te parler de ma personnalité, de mon parcours et pourquoi je me suis lancée dans la rédaction web.

J’ai toujours éprouvé un besoin fort de communiquer, de défendre mes valeurs, de les partager.

Mais étant d’un tempérament plutôt réservé et introverti, je me suis toujours sentie plus à l’aise à l’écrit. La lecture et l’écriture occupent d’ailleurs une bonne partie de mon temps.

Lectrice assidue, j’ai ressenti très jeune le pouvoir magique des mots, les sensations et les émotions qu’ils éveillent en nous.

Mais pour que les mots touchent, il faut qu’ils résonnent en nous, qu’ils amènent une prise de conscience ou un changement d’état : inviter à la réflexion, créer une émotion, (r)éveiller un désir, pousser à agir…

Ce changement, c’est tout l’enjeu de la communication marketing.

 
 
 
Photo de Véronique Faucheux, créatrice de Catchwords
Véronique Faucheux

Créatrice de CatchWords

Mon histoire ou la quête de sens

 

Il était une fois une jeune femme introvertie et hypersensible qui manquait terriblement de confiance en elle.

Elle avait commencé sa carrière dans l’enseignement mais ne se sentait pas à sa place.

Elle était de plus en plus démotivée et avait l’impression de s’éteindre à petit feu.

Après plusieurs années, elle s’est mise en disponibilité pour devenir traductrice mais elle ne gagnait pas suffisamment sa vie.

Puis, un beau jour, elle s’est intéressée au digital et elle a compris que c’était sa voie.

Elle a alors commencé diverses formations pour voir où étaient ses compétences. 

Et elle a pris une décision irréversible mais nécessaire : démissionner de l’Éducation nationale pour donner naissance à son rêve.

Au début, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle devait proposer. Elle s’est lancée un peu à l’aveuglette, sans réelle stratégie et elle a échoué.

Finalement, elle a eu un déclic et a compris qu’elle devait se spécialiser en rédaction web. 

Mais elle était face à un dilemme. Elle avait entendu que la rédaction était plutôt mal payée et elle ne voulait pas revivre la même expérience qu’en traduction.

Elle voulait gagner sa vie et son indépendance.

C’est pourquoi, elle a approfondi sa formation pour développer des compétences à haute valeur ajoutée.

Tout cela a pris du temps et a demandé beaucoup d’efforts mais ça en valait vraiment la peine.

Tu l’as compris, cette jeune femme, c’était moi.

J’ai mis longtemps à m’autoriser à vivre la vie dont je rêvais.

J’avais plus de 50 ans quand j’ai opéré ce revirement.

Mais pour moi, c’était vital.

J’allais réaliser mon rêve fou : réinventer ma vie.

 
 

La traversée du désert

 

Je crois en effet qu’il faut être un peu fou pour décider, du jour au lendemain, de larguer les amarres et voguer à l’aventure.

Dans mon entourage, personne ne comprenait ma décision.

Quoi ? Quitter un emploi stable et repartir de zéro ?

J’avoue que, bien des fois, j’ai été traversée par le doute.

Si j’échouais ? Si je ne réussissais pas à me relever ?

Eh bien, j’ai échoué.

Car ne connaissant pas suffisamment l’écosystème digital, je n’ai pas su définir mon offre.

Mais c’était avant de me spécialiser en rédaction SEO et Copywriting.

A l’époque, je proposais la conception de sites WordPress avec de l’intégration de contenu, de la rédaction, de la traduction… 

Mais je n’avais pas de proposition de valeur différenciante et mon offre s’adressait à tout le monde.

Et comme on dit : “En s’adressant à tout le monde, on ne s’adresse à personne.

 
 
 

Ce que l'échec m'a appris

 

Mon offre manquait de cohérence et n’attirait personne.

Et mon contenu éditorial était insipide.

Mais au début, je ne réalisais pas.

J’ai commencé à vraiment m’inquiéter après quelques mois.

Je suis sûre que dans le milieu digital, des professionnels ont pensé : “Elle est en train de se ramasser en beauté !”

Mais, ils n’ont rien dit.

Et ils ont eu raison de ne pas m’aider. Je leur dis MERCI !

Car rien n’est plus formateur que l’échec. On apprend toujours de ses erreurs.

A travers cette expérience, j’ai appris qu’il faut impérativement :

  1. analyser son marché et sa cible pour définir une offre minimum viable
  2. bâtir une stratégie éditoriale solide et rédiger avec beaucoup plus d’efficacité
  3. connaître ses valeurs et les mettre en adéquation avec son offre pour attirer une clientèle qualifiée.

 

En conclusion, j’ai surtout appris qu’il ne faut jamais redouter l’échec car c’est un formidable levier de développement personnel !

 

Pourquoi l’échec m’a aidée à me construire

 

Un proverbe japonais dit : “Le succès, c’est tomber sept fois, se relever huit.”

Personnellement, j’ajouterai ceci : 

“Ce qui fait l’histoire d’un succès, c’est le sens qu’on donne à ce qu’on fait et la passion qui nous anime.” 

Être en vie, c’est avoir envie. Et oser prendre des risques.

Mais il faut aussi apprendre à s’accepter tel qu’on est, avec ses failles, ses imperfections.

Au Japon, il existe un art ancestral appelé le Kintsugi ou Kintsukuroi.

Il consiste à recoller les morceaux des objets cassés en comblant leurs fissures avec une poudre d’or. L’objet ainsi réparé n’en acquiert que plus de valeur.

Appliquée à soi-même, cette technique est assimilée à la résilience, notre aptitude à dépasser nos blessures, à accepter nos fragilités pour les transformer en forces.

Lorsqu’on comprend ça, l’idée d’échouer ne fait plus peur. L’échec est alors vu comme la première étape d’un parcours initiatique qui nous aide à grandir.

L’échec n’est plus considéré comme la fin d’un rêve à construire mais comme le début d’une belle aventure.

 

Le tremplin vers le succès

 

Aucun projet ne se construit en un jour.

Cela demande de la ténacité et en même temps, une bonne dose d’humilité.

Quel que soit son âge, un projet de reconversion professionnelle est un défi et demande un gros investissement personnel.

Et pour mener un projet à son terme, sans se décourager, rien de mieux qu’une très bonne formation.

Des formations, j’en ai fait plusieurs.

J’ai commencé par acquérir des compétences digitales sur Open Classrooms. Cela m’a permis de réaliser mon propre bilan de compétences et de connaître mes centres d’intérêt et mes points forts.

Clairement, le marketing digital était ce qui m’intéressait le plus et en particulier le marketing de contenu.

J’ai approfondi en validant la formation FormaSEO proposée par Olivier Andrieu, le plus connu des experts SEO en France. Cela m’a permis d’aborder tous les aspects des 3 piliers du SEO : le contenu, la technique, les liens.

Mais c’est la formation Rédacteur+++ proposée par Matthieu Verne, le fondateur de ReferenSEO, qui a été déterminante dans mon évolution.

Rédacteur+++ offre un programme complet qui va beaucoup plus loin qu’une simple formation en rédaction web.

L’objectif est de former de véritables experts de la rédaction SEO capables de mener un projet de A à Z, de conseiller le client dans la construction d’une stratégie éditoriale solide.

Cette formation m’a redonné confiance en moi.

Elle m’a aussi permis de mieux définir mon projet.

Et comme je tenais aussi à aider les entreprises à atteindre leur objectif de conversion, j’ai décidé d’ajouter une autre corde à mon arc en apprenant les techniques d’écriture persuasive avec l’excellente formation en Copywriting de LiveMentor

En effet, le copywriting est indispensable pour se démarquer de la concurrence avec des contenus impactants et uniques. Il vient en appui et complète la rédaction SEO pour offrir une stratégie content marketing encore plus performante.

Pour information, tu trouveras aussi mon profil sur WebCreation-Service, une agence de communication digitale partenaire.

Je figure également dans l’annuaire digital des experts en marketing : https://www.jesuisnumerique.fr 

 

Pourquoi je veux accompagner les e-commerçants

 

Je suis une quinqua mais dans ma tête, j’ai encore 30 ans.

Parce que je me sens remplie d’une énergie nouvelle depuis que je travaille sur ce projet.

Avoir plus de 50 ans, ce n’est pas un handicap. Je dirais même que c’est une chance.

Parce qu’on a acquis de l’expérience, on a appris de ses erreurs. 

On peut mettre cette expérience au service des autres.

Je pense en particulier aux entrepreneurs qui rêvent d’indépendance.

Je pense à tous ceux qui ont des valeurs fortes à défendre.

Mais je pense surtout aux producteurs et e-commerçants qui veulent relancer l’économie locale, faire redécouvrir le savoir-faire Made in France.

Nous sommes à un tournant.

Nous vivons une période de transition et de transformation inédite.

Jamais auparavant, il n’y aura eu une telle quête de sens, une telle volonté de vivre alignés avec nos valeurs.

Cette aspiration au changement se retrouve chez beaucoup de monde, en particulier les jeunes.

Ce n’est plus tant l’argent et l’accumulation de richesses qui nous font vibrer.

Ce qui nous fait vibrer, c’est de donner du sens à nos vies.

C’est d’agir pour les causes qui nous sont chères.

Pour cela, certains sont prêts à prendre tous les risques.

Ils seraient prêts à parcourir les mers et les océans sur un radeau de fortune.

À traverser un rideau de flammes.

À escalader les plus hauts sommets du monde.

Ces entrepreneurs enthousiastes et courageux ont toute mon admiration.

Car ils ont compris une chose essentielle : la liberté n’existe que lorsque l’on fait ce en quoi on croit.

 

Relevons les défis ensemble

 

Nous prenons de plus en plus conscience que le modèle économique et social qui nous a été longtemps imposé ne nous convient plus. 

Nous rejetons de plus en plus l’hyper productivisme, le gaspillage… 

Nous sommes en recherche constante de solutions plus respectueuses de l’humain et de l’environnement.

SMALL IS BEAUTIFUL

Je n’ai jamais été attirée par les multinationales.

Je préfère les petites entreprises, celles qui contribuent au développement économique local, celles qui privilégient la qualité à la quantité, celles qui recréent un lien social.

Petite-fille d’ouvriers dans le textile, j’ai conservé ce goût pour la qualité des produits Made in France.

Aujourd’hui, nous avons besoin de relocaliser afin de retrouver plus d’indépendance économique.

Il nous faut relancer les filières d’activité traditionnelles qui jadis faisaient notre fierté.

Mais en même temps, nous devons innover pour valoriser notre savoir-faire et répondre aux besoins d’une clientèle de plus en plus exigeante.

Car il devient urgent et vital de relancer la production en France tout en protégeant l’environnement.

Je me définis moi-même comme consomm’actrice car je recherche toujours les produits locaux et les solutions les plus respectueuses de l’humain et de la nature. 

Forte de ces valeurs, mon offre s’adresse donc également aux producteurs et e-commerçants bio engagés dans une démarche écoresponsable.

Aujourd’hui, ce sont aux nouvelles générations d’entrepreneurs, ces héros du quotidien, de relever le défi.

Toi aussi, tu es un héros.

Et je veux t’aider à accomplir ta mission.

En te prêtant ma plume et en t’accompagnant dans ta stratégie éditoriale.

D’ailleurs, je t’invite de suite à découvrir mes services, les secteurs d’activité auxquels je m’adresse, quels process j’ai mis en place et comment j’accompagne les entreprises dans leur projet éditorial.

 
 
 
 

L'art de bien communiquer

 

C’est à travers mes expériences que j’ai pris conscience de l’importance de la communication et je me suis souvent fait cette réflexion: “Les gens ne savent plus communiquer.” 

Pas toi ?

Et pourtant avec internet et les réseaux sociaux, nous n’avons jamais autant communiqué qu’aujourd’hui.

Alors pourquoi penser cela ?

Parce que malheureusement, très souvent, nous communiquons mal.

Nous parlons pour nous ou de nous sans nous intéresser à l’autre.

Bref, nous sommes centrés sur nous-mêmes, sur notre activité, notre produit sans nous demander si nous répondons vraiment aux besoins de celui à qui nous nous adressons.

La question est : est-ce qu’une simple description neutre et factuelle de ton produit ou service peut toucher ton client ?

Tu connais la réponse : NON.

Pour toucher ton client, il faut faire appel à ses sens et à ses émotions.

 
 
 

Communiquer, c'est parler aux sens et aux émotions

 

Si tu as un magasin physique ou tu vends sur un marché, ton client peut voir ton produit mais aussi le toucher, le sentir, l’essayer, éventuellement le goûter. Tous ses sens sont sollicités et la décision d’achat est alors plus facile.

En ligne, c’est plus compliqué mais tu peux toujours surmonter cette difficulté en utilisant le pouvoir des mots.

Des images sélectionnées avec soin accompagnant ton message attirent le regard sur un objet, permettent d’en apprécier le design. Elles peuvent même suffire à donner l’envie d’acheter ton produit. Mais il peut manquer les autres sensations qui vont aider ton client à la prise de décision.

Toutes ces sensations dont le client est privé en l’absence de contact physique avec l’objet, c’est à toi de les éveiller par la force de ton message.

Cependant, il n’y a pas que les sensations. Il y a aussi les émotions. Pour ça, connaître la psychologie de ton client est essentiel. C’est ce qui va vous permettre d’entrer en relation avec lui, de créer une véritable connexion.

 
"Les mots créent tout un univers sensoriel dans lequel tu fais entrer ton client. Accompagnés par des visuels de qualité, ils agissent comme un aimant qui attire l’attention sur ton produit."
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Véronique Faucheux
Rédactrice SEO & Copywriter

Psychologie rime avec empathie

 

La psychologie humaine, ce n’est pas compliqué. Il suffit d’essayer de se mettre à la place de l’autre.

Le commerce est une rencontre entre deux personnes. C’est Selma Païva, créatrice de contenu, qui a écrit : “Internet est une table pour deux.”

Qu’est-ce que ça veut dire ?

Cela veut dire que ton client est unique.

Même si tu as plusieurs “buyer personas” ou avatars, tu dois t’adresser à chacun d’entre eux de manière unique. 

L’enjeu est de t’adresser à ton client comme à ton meilleur ami.

Tu dois donc connaître ton client par cœur, l’étudier, le comprendre, être à l’écoute de ses besoins, ses envies, ses peurs… Pour lever ses objections, lui proposer la solution qui répond à son besoin et l’aider à prendre la bonne décision.

Si tu tu as besoin d’aide pour définir ton buyer persona le plus précisément possible, je t’invite à lire l’article qui t’explique comment créer la fiche de ton client idéal.

 

Pour bien vendre, il faut savoir écouter

La plupart des gens n'écoutent pas avec l'intention de comprendre, ils écoutent avec l'intention de répondre.

 

Il n’y a pas de bonne communication sans écoute.

S’intéresser à son client, c’est d’abord savoir l’écouter et comprendre ce qu’il nous dit. Ce n’est pas interpréter.

Une bonne communication ne doit pas laisser de place à l’interprétation.

Interpréter, c’est risquer de se tromper.

Pour éviter de tomber dans cet écueil, il suffit de poser les bonnes questions et de reformuler pour être certain qu’on a bien compris ce que le client veut vraiment.

L’objectif est de lever toute ambiguïté car vendre, c’est concret. Le marketing s’accommode mal de l’abstraction et du flou artistique.

Une bonne écoute, c’est la garantie d’une communication claire, propice à un climat de confiance entre l’acheteur et le vendeur.

 

Pourquoi faire appel à moi ?

 

Tu te souviens que je t’ai dit que je suis d’un tempérament introverti ?

Eh bien, l’une des particularités des introvertis est qu’ils passent la plupart de leur temps à écouter les autres. 

C’est même leur qualité principale : ce qui les intéresse avant tout est de comprendre l’autre. 

Tu connais sûrement des introvertis. Peut-être l’es-tu toi-même. Tu sais donc que ce sont généralement des personnes timides mais aussi sensibles et à l’écoute.

Ce trait de caractère a développé chez moi un intérêt profond pour la psychologie humaine.

Et pour moi, le marketing, c’est d’abord de la psychologie.

 
 
"Une communication réussie passe par la psychologie et l’écoute. Car seule une bonne compréhension de ton client te permet de communiquer efficacement avec lui et de créer un climat de confiance durable."
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Véronique Faucheux
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La mission de Catchwords

 

Faire connaître ta marque avec des mots qui partagent ta vision et tes valeurs.

Chaque jour, avec Catchwords, je mets toute mon énergie pour accompagner la croissance de ton entreprise avec des contenus captivants, pertinents et attractifs pour tes clients.

Je fais ce travail AVEC toi. 

Je ne suis pas que ta plume : je suis le ton et la voix de ta marque.

Pour résumer, je t’aide à exprimer clairement qui tu es, ce que tu fais, pourquoi tu le fais et pour qui.

 
 
 

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